Logement insulaire, une équation précaire

A Belle-île-en-mer (Bretagne), l’explosion du prix du logement post-Covid combiné à un marché de l’hébergement presque uniquement dédiée au tourisme oblige inexorablement les îliens non-propriétaires à quitter leur île.

Les saisonniers, faute de logements disponibles, vivent en tente ou dans des bateaux de quelques mètres carrés. Les restaurateurs peinent alors à recruter si ils n’ont pas aussi un toit à proposer.

Les élus, qui ont pris tardivement conscience du problème n’en sont pas moins démunis, faute de suffisamment d’outils législatifs adaptés pour contre-carré la loi du marché et la loi littoral.

Texte et photos : Oscar Chuberre

 
Précédent
Précédent

Brèves de pressoir

Suivant
Suivant

Terre brûlée des Ardennes